Blog Clefs du Web

Blog Clefs du Web


Clefs du Web est associé au site Arteacom. Ce blog est destiné à la publication ponctuelle d'informations liées au techniques de référencement naturel, de rédaction commerciale et mise en page web.

Ce blog n'a pas pour vocation à reprendre des informations déjà largement diffusées sur le net. Il présente des méthodes et réflexions nées d'une pratique professionnelle exercée auprès des clients d'Arteacom.

vendredi 23 décembre 2011

Le journal Facebook ou comment être son propre Patron de Presse


Trouvé par l’effet sérendipité du net, une nouveauté de Facebook que bien des personnes utilisent déjà : le Journal.
Un peu dans l’esprit de  Scoop.it ou Pearltree, il s'agit d'une manière plus attractive, plus ergonomique de se présenter et de mettre en avant ses contenus. Ainsi, grâce à ce nouveau support, le côté brouillon, usine à gaz labyrinthique tendrait peut-être à disparaître sur Facebook.
Avantages notables : nous créons notre propre journal sans recherche laborieuse d’aides financières, nous sommes à la fois Directeur de publication, Rédacteur en chef, Pigiste, Responsable Publicité, Bibliographe, Chef des relations Clients. Nous gérons et contrôlons tout. Pas de mise sous tutelle de grands groupes industriels. Personne ne nous embête. Pas de problématiques de recrutement ou de licenciement puisque nous sommes Le Patron. Pas de fiches de paye à établir puisque l’on ne se rémunère pas. Un nouveau modèle économique pour la presse en somme !
La seule contrainte : être suffisamment original et intéressant pour obtenir des lecteurs-Fans.

vendredi 16 décembre 2011

Extraire du texte inséré dans une image avec FREE OCR


L’
OCR (Optical Character Recognition) est une application informatique qui effectue une reconnaissance optique des caractères contenus dans les images.
Le site FREE OCR est très pratique pour ceux d’entre nous qui souhaitent extraire un texte intégré dans des images (la page scannée d’un livre et récupérée sous format jpg, par exemple) ou dans un document  pdf.
Il suffit de télécharger le document, de choisir la langue et l’interface FREE OCR nous restitue le texte qui peut être copié-collé dans n’importe quel autre support : Word, Excel etc.
Seules restrictions : taille maxi 2Mb, une seule page à la fois, manipulation limitée à 10 pages par heure.

mardi 6 décembre 2011

Cours d’anglais sur le net : l’exemple de BBC Learning English

Je ne peux résister à la tentation de vous faire découvrir un site que je connais depuis longtemps et dont j’apprécie la qualité et la richesse des contenus. Il s’agit du site web de la BBC dont une vaste partie est consacrée à l’apprentissage de l’Anglais. Son titre BBC Learning English.
Je consulte de manière privilégiée la section du site intitulée Words in the News afin de maintenir et développer mon vocabulaire. Chaque sujet s’appuie sur une actualité récente relayée en version audio et écrite. Les mots-clés sont repris à part, également de manière audio et écrite. C’est toujours clair, très structuré, vivant et les textes ne sont jamais trop longs. On peut télécharger les contenus textuels sous documents pdf.
BBC Learning English dispose d’une page Facebook qui reprend chaque jour des extraits issus du site. A noter, cette page dispose de près de 42.000 fans, ce qui me semble être l’indicateur d’une certaine qualité.
L’exemple de cette semaine dans la partie  Words in the News concerne la vente record d’une BD consacrée au personnage de Superman. Ci-dessous, la page.

On remarquera au passage que tous ces contenus sont gratuits depuis des années.
Nous avons bien de la chance de disposer de telles ressources dans ces conditions. Le tout est d’avoir le temps et l’envie de les utiliser...

dimanche 20 novembre 2011

Mots-clés d'un site web : pourquoi sont-ils primordiaux, comment les trouve-t-on et de quelle manière les choisit-on ?

Il est bien dommage que par manque de culture référencement l'étape essentielle consistant à étudier les mots et expressions clés d’une activité professionnelle soit souvent négligée voire éliminée lors de la création d'un site.
Dans son article daté du 16 septembre dernier, Isabelle Canivet nous présente d'une façon très claire et relativement exhaustive sa méthode de recherche de mots-clés.
Synthèse des thèmes abordés :
L’objectif des mots-clés : générer du trafic qualifié ; c'est à dire un trafic en lien étroit avec les cibles de communication du site.
La caractéristique d’un bon mot-clé : un mot qui ne fait pas l’objet d’une concurrence effrénée entre les sites mais qui est cependant recherché par les internautes cibles. Le choix définitif est donc le fruit d’un compromis.
La recherche proprement dite : étape longue ; elle se fait en cherchant les expressions d’usage, les mots utilisés pour qualifier un produit ou une activité, dans son entourage professionnel, auprès des clients, des internautes, dans les forums, sur les sites des concurrents. Des outils aident à repérer les requêtes les plus nombreuses (exemple Google générateur de mots-clés) et à faire des choix pertinents.
Une fois les mots trouvés : comment les optimiser pour qu’ils soient correctement pris en compte (indexés) par les moteurs de recherche ? C’est la partie un peu technique. On intègre les mots-clés dans la page web en prenant soin de les associer à différentes balises html sémantiques dont les fonctions varient et auxquelles les moteurs de recherche donnent une signification différente. Exemple : le mot lessive dans une balise « H1 » signifie que l’on est en présence du sujet de la page, le même mot lessive au milieu d’un texte mais dans une balise « strong » aura une certaine importance pour le moteur de recherche, , mais pas aussi grande que s’il était placé dans une balise « H1 ».

La densité de mots-clés : le but est de présenter au moteur une page riche d’un point de vue lexical mais sans bourrage de mots (travail que Google risque de disqualifier).
Le positionnement de notre page : Google Analytics et bien d’autres outils nous aident à suivre le positionnement de nos mots et expressions clés par rapport à la concurrence et de faire des correctifs en fonction des résultats obtenus.

Curation, c’est quoi ce vilain mot ?

La curation, anglicisme provenant de Curator (Commissaire d’Exposition dans le monde anglo-saxon), est l’activité qui consiste à collecter, trier, synthétiser et mettre à disposition d’un ensemble de personnes des informations pertinentes de nature diverse ou classées par thématiques.
Cette activité n’est pas nouvelle. C’est l’essence même du métier de Documentaliste, profession qui existe depuis des décennies dans les entreprises ou les Services Publics. C’est le fonds de commerce du journaliste spécialisé dans le compte rendu des sujets divers traités par la presse.
Pour pouvoir faire face à la profusion des données qui circulent sur le net, certaines plateformes proposent des outils de veille et de gestion d’informations. C’est par exemple le cas de Google Reader interface qui agrège et restitue au lecteur/abonné des flux RSS provenant de sites ou de blogs. Le problème est que Google Reader est un outil propre à chaque l’internaute. Il ne permet pas la mise à disposition des informations à autrui.
Depuis fin 2009, certaines plateformes sont apparues qui permettent aux internautes de rassembler par thèmes, de mettre en valeur par une mise en page séduisante des informations contenues sur différents supports : Facebook, Twitter, blogs etc. et de les partager avec d’autres internautes. C’est ce que proposent notamment Scoop.it et Pearltrees.


lundi 3 octobre 2011

E-commerce : s'informer avant de se lancer !

Incroyable le nombre de personnes qui se lancent dans le commerce en ligne sans avoir une once de culture web ! Et pourtant, l’information existe largement en la matière.
J'ai eu un contact dernièrement avec une personne qui a pour projet la vente de T-shirts par le biais d'un site e-commerce. Domaine ultra concurrentiel. Cette personne avait mis en ligne son site récemment et ne savait même pas qu'il est impératif d'intégrer des balises spécifiques dans le code source, de créer des liens entrants, de référencer son site dans des annuaires, de publier des communiqués de presse, de faire de l’affiliation, sans compter toute la problématique liée à la manière dont est pensé le parcours d'achat de l'internaute ainsi qu’un vaste ensemble d’éléments techniques, ergonomiques, rédactionnels etc.
Certains en sont encore à croire que l'on peut vendre par le net sans investir d'argent dans le référencement et la communication ! J'ai encore eu un témoignage ce matin, en ce sens :
«  Untel de mes confrères, ma bonne Dame, gagne 10 000 euros par mois en ne dépensant presque rien !
- Sans blague ? »
Il n'y a pas de secret : pour commercer en ligne, il faut investir dans un excellent système qui sera forcément très coûteux et investir en permanence dans l'optimisation du site et la communication par des canaux multiples...ce qui coûte également très très cher.
Pour ce qui est de la culture web et e-commerce, il existe de nombreux et excellents ouvrages et blogs sur le sujet...Capitaine Commerce par exemple.
N’oublions pas non plus les prestations gratuites de la chambre de commerce en matière internet. La CCI Marseille notamment par son pôle COMPETI’TIC offre des matinées d’informations de très bonne qualité sur un ensemble de thématiques web : les notions d’ergonomie, l’élaboration d’un cahier des charges avant tout projet internet, l’analyse de trafic d’un site, les questions de notoriété, les campagnes e-mailings etc.
Donc, avant de se lancer dans un projet de vente en ligne, qui sera assurément complexe, allons nous renseigner auprès de ceux qui sont là pour nous éclairer.


lundi 19 septembre 2011

Vincent, François, Paul et les autres sur Facebook


Facebook introduit de la nuance dans la désignation de nos contacts.
A l’instar de ce que propose Google+, nous avons désormais la possibilité de marquer nos amis comme amis mais aussi comme connaissances. C’est une modalité de gestion de nos informations qui permet, notamment, de ne pas se laisser envahir par tout un tas de flux sans grand intérêt pour nous.
Intérêt diplomatique : Facebook a prévu que ceux que nous marquons comme connaissances ne soient pas avertis de cette classification qui pourrait leur paraître désobligeante. Nous continuerons donc  tous à afficher que nous sommes amis avec des quantités de gens alors même qu’ils ne sont que de vagues connaissances avec lesquelles nous partageons un simple lien hypertexte.
Facebook a évolué dans les possibilités d’indexations de nos contacts, il n’a toutefois pas encore accordé la possibilité à ses clients comme l’a fait Google+ de créer des typologies d’amis qui s’avèrent pratiques dans la vraie vie lorsque l’on est clair et lucide dans ses relations : vieil ami, ami de cœur, bonne copine,  faux ami, faux frère,  traite, ami intéressé, relation d’affaires etc.
Attendons encore un peu, et cela sera certainement rendu possible sur Facebook. Nous aurons tout loisir de qualifier nos contacts, de les ranger, de les évaluer, de les étiqueter….
….de les étiqueter… hum !


vendredi 16 septembre 2011

Landing Page Facebook, une page d'accueil stratégique



La landing Page est une page d’accueil au graphisme sophistiqué que l’on rencontre de plus en plus lorsque l’on cherche une entreprise ou une marque sur Facebook.  Elle ressemble à une page publicitaire et invite l'internaute à agir (call to action).

Petit rappel : pourquoi être présent sur Facebook ?
  • Parce que c’est un outil gratuit
  • Parce que de plus en plus d’entreprises s’y trouvent
  • Parce que c’est un support de visibilité supplémentaire
  • Parce que cela booste, par les liens html entrants (netlinking), le positionnement de notre site web
  • Parce que c’est un moyen de créer une communauté de fans, c’est-à-dire des gens qui vous aiment et l’expriment. Donnée importante, Google prend en compte le nombre de fans sur une page entreprise pour lui accorder une valeur en termes de référencement.
L’intérêt d’une landing page autrement appelée fans page ou page de bienvenue
La landing page est utilisée par de nombreuses sociétés ou marques pour inciter les visiteurs à cliquer sur le bouton j’aime. En ayant cliqué, ils deviennent  fans de la page. Le nombre de fans s’incrémente au fil des clics (c’est très positif en termes d’image pour une marque d’afficher qu’elle a… 865 720 fans) et cela booste le référencement comme on l’a vu plus haut.
Cette landing page peut avoir d’autres vocations :
  • Présenter la société de manière plus personnalisée que sur l’interface Facebook ordinaire
  • Annoncer des événements,
  • Inciter à participer à des jeux concours, des promotions…
  • Proposer  l’abonnement à une newsletter
  • Intégrer une vidéo publicitaire etc.
Cette page incitative s’avère être un outil marketing très efficace. Elle nécessite toutefois pour sa mise en oeuvre un savoir-faire relativement technique et une étude stratégique sur la campagne incitative à mener.  

Nota : dans le cas des fans pages (pages qui incitent à devenir fan), une fois que l’internaute a cliqué sur le bouton j’aime, il ne revoit plus cette page d’accueil quand il revient vers la page de la marque mais il est directement connecté au mur.

nNota 2 : Voici ce que donne la page d'accueil d'une marque connue...sans Landing Page....c'est peu glamour, non ?


mardi 6 septembre 2011

Sachons référencer nos documents pdf


Une note récente de Google, nous rappelle que les moteurs de recherche parcourent les fichiers sous format pdf et qu’ils les indexent comme n’importe quelle page web ordinaire.

Il est donc judicieux de les nommer correctement pour optimiser leur référencement. Exemple de nom : techniques-redaction-web.pdf. Utilisez des tirets entre chaque mot.

Il est également souhaitable d’éviter que ces documents soient la copie conforme de pages du même site (cela pourrait lui nuire). C’est ce qu’on appelle le duplicate content. Cela est est prohibé par Google surtout depuis quelques semaines et la mise en action de son nouvel algorithme qui fait la chasse aux contenus de mauvaise qualité.

lundi 5 septembre 2011

Médias sociaux et entreprises : quelques notions de base

Les médias sociaux sont des supports interactifs de communication en ligne. Ils permettent de créer des contenus et de les modifier. On compte parmi eux les blogs, les forums, les wikis, les réseaux sociaux, les plateformes de partage d’images, de vidéos ou de musiques.
Fred Cavazza a réalisé un travail de classification des médias sociaux à la fin de l’année 2010. 
Il distingue 7 familles de réseaux :
  • Publication : Les plateformes blog (Blogger, Overblog…), les outils collaboratifs de création de contenus appelés wiki (Wikipedia…)
  • Partage : Les platerformes de partage d’images (Picasa, Flickr…), de musiques (Deezer, Myspace…), vidéos (Youtube…)
  • Discussion : Les forums et leurs outils de création et de gestion
  • Commerce : Les sites d’achats groupés, plateformes de recommandations, outils de gestion des avis clients…
  • Localisation : Google Adresse…
  • Réseautage : Les réseaux sociaux privés et professionnels : copains d’avant, Peuplade, Facebook, Viadeo…
  • Jeux : Les plateformes de jeux pour adultes ou enfants (Habbo...)

De plus en plus d’entreprises – petites et moyennes - utilisent les médias sociaux comme des supports de communication et de visibilité web. Cela pourra être un blog diffusant les nouveautés d’une entreprise comme une page Facebook qui présente une société. Pour autant, elles n’animent pas de contenus  interactifs, une communauté de consommateurs ou de clients. Leur communication est à sens unique.
D’autres entreprises, souvent de grandes marques, utilisent les médias sociaux comme des outils intégrés à leur stratégie marketing et d’analyse clientèle. Elles créent des communautés qu’elles informent par le biais de messages publicitaires et dont elles managent les échanges. La communication se fait dans les deux sens. Le challenge, pour ces entreprises, est de contrôler ces flux d’informations et d’en tirer parti. Pour cela, les grandes marques se sont dotées d’outils de gestion des opinions clients. Elles suivent de près les sentiments exprimés par les consommateurs pour orienter leurs politiques commerciales, affiner leur offre, travailler leur image, analyser l’évolution des tendances etc.
Concernant les petites entreprises  l'essentiel du travail est, dans un premier temps, de leur faire connaître  tous les outils adaptés à leurs besoins (et qui n'ont rien de gadgets) offerts par les médias sociaux.
Et dans un second temps, de les convaincre que l'engagement financier non négligeable que requiert  l'utilisation des ces outils sera rentable à moyen et long terme.


mercredi 31 août 2011

Etre ou ne pas être sur les réseaux sociaux. L’exemple du réseau Facebook .


Comment faire en sorte de convaincre les petites entreprises de s’intéresser aux réseaux sociaux et plus particulièrement à Facebook sans aligner des arguments rebattus, abstraits et non appropriés à leurs attentes. Les problématiques de buzz marketing et d’e-réputation entrent-elles dans le champ des préoccupations principales d’un artisan ou d’un responsable de petite entreprise dont l’activité est locale ? Pour l’heure, il est difficile de répondre à cette question. Les études concrètes et leurs résultats chiffrés manquent.

On peut toutefois affirmer que, quel que soit la catégorie à laquelle appartient une entreprise, ne pas utiliser Facebook est une erreur. Il suffit simplement d’utiliser ce média à la juste mesure de la structure.

Créer un profil et le renseigner correctement 

 

Il est fortement recommandé de créer une page de contenu qui présente l’activité de l’entreprise de manière détaillée et attractive visuellement. Les cibles de communication et le style rédactionnel auront, bien sûr, été préalablement soigneusement étudiées. Voir ci-dessous l’exemple la page Facebook de la marque les 2 vaches et de son ton rédactionnel systématiquement humoristique.




Facebook est appréciable pour les entreprises qui proposent des produits car elles peuvent les présenter au sein d’albums photos, d’une page dédiée aux produits voire même au travers du bandeau de la page d’accueil.



Facebook permet d’intégrer des liens hypertextes vers le site web de l’entreprise, c’est donc un moyen supplémentaire d’optimiser celui-ci. Des liens peuvent également être insérés et dirigés vers différents supports en ligne : blog ou toute autre page web.

Parler de soi régulièrement : l’animation du contenu 

 

C’est un des aspects attractifs de Facebook. Il nécessite cependant de dégager du temps et des moyens humains (ou de faire appel à un rédacteur professionnel) pour la rédaction et la réflexion préalable à celle-ci.

Il est possible de créer une page actualité que l’on anime à la manière d’un blog en y insérant des articles, des photos et des liens hypertextes. On peut également reporter des extraits de textes provenant d’autres supports.




Du contenu régulier et adapté à la cible de communication est très profitable en termes d’image. Il l’est d’autant plus pour les entreprises dont l’activité est tournée vers les consommateurs (Btoc). Facebook est un outil intéressant pour promouvoir certains types de produits ou services destinés aux particuliers : décoration, alimentation, restauration, mode etc.

Il paraît peut-être moins aisé de fournir de l’actualité quand notre entreprise relève de domaines moins glamours tels que le BTP, la métallurgie, la sécurité, l’agro-alimentaire, l’entreposage, l’hygiène etc.

 Les  idées de thèmes :

 

  • Nouvelle gamme de produits,
  • changements tarifaires,
  • obtention de nouveaux marchés,
  • réalisations nouvelles (avec photos à l’appui),
  • évolution de la législation,
  • obtention de certifications,
  • changement d’identité visuelle,
  • conseils techniques,
  • participation à des salons, forums, foires,
  • parution d’articles dans la presse,
  • infos sur des savoir-faire divers,
  • focus sur un aspect particuliers de l’activité,
  • commentaires sur l’actualité du secteur ou locale,
  • témoignages de clients,
  • acquisition de nouveaux locaux,
  • mise en place de partenariats,
  • recrutement de nouveaux collaborateurs etc. 
 
Rappelons que l’animation de contenus autour d’une activité professionnelle devient impérative pour faire face à la concurrence sur internet.

Laisser son site web inactif, seul, sans liens avec d’autres sites, c’est prendre le risque qu’il tombe vite dans les profondeurs du web et qu’il ne soit absolument pas rentable.

Par Arteacom : webmarketing Aix en Provence.